En 15 ans, le métier de courtier pro s’est radicalement transformé. Il ne s’agit plus du tout de simplement négocier des conditions commerciales.
D’ailleurs, il est de plus en plus fréquent que nous n’ayons même pas besoin de négocier, puisque nos partenaires bancaires (sans eux, on ne serait rien !) ont désormais tendance à nous faire du premier coup la meilleure offre possible. Le gain de temps est en effet clé, pour nos clients !
Nous sommes désormais dans un véritable rôle de conseil, car l’accès au crédit s’est durci, et il faut désormais avoir un dossier irréprochable sur la forme.
Des exemples concrets, très récents :
- Négociation d’une baisse de prix de 40.000 €, sur un dossier sur lequel nous avons été mandatés après la signature de la promesse.
- Révision d’un prévisionnel rédigé par un expert-comptable, en accord avec ce dernier, afin de le mettre aux normes bancaires
- Aide à la cession pour un ancien client, en lien étroit avec son expert-comptable, un avocat et plusieurs agents immobiliers
- Renégociation des commissions cartes bleues pour une ancienne cliente
- Intervention auprès du notaire vendeur afin de sécuriser une préemption, et rassurer le vendeur sur la solvabilité
- Conseils afin que le client puisse se mettre en situation de signer l’achat de ses bureaux sans condition suspensive (permettant ainsi d’emporter l’affaire), grâce à l’obtention d’un accord ferme de crédit
Bref, on ne se définit plus comme simple courtier… mais comme COURTIER CONSEIL !